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POURQUOI:(suite)
- Il n’y avait pas d’ADN de Marina S. sur les verres et tasses retrouvĂ©s dans l’Ă©vier, juste celui de Ruth et de Marie-JosĂ©.
- Les numéros du répertoire des traces ADN ne se suivent pas. Il manque des piÚces, le tableau est trÚs confus.
- L’examen des ciseaux est manquant sur les relevĂ©s. Les rapports relĂšvent qu’il n’y a aucune trace pertinente, mais un an plus tard, l’ADN de François est retrouvĂ© sur lesdits ciseaux.
En réalité, ce sont des écouvillons qui sont analysés un an plus tard et nous nous demandons comment le médecin-légiste peut affirmer que cet ADN provient bien des ciseaux.
- *Simon, sa femme ainsi que ses proches ne sont pas interrogés au moment de la découverte des corps.
Alibi non demandĂ© donc non vĂ©rifiĂ©. ADN non prĂ©levĂ©e, donc aucune comparaison possible. Les enquĂȘteurs affirment que c’est un drame familial mais seul l’ADN de François est prĂ©levĂ©e le 5 janvier 2006
- Les Ă©ventuelles empreintes n’ont pas Ă©tĂ© relevĂ©es sur le collier des chiens.
Etonnant du moment qu’ils ont Ă©tĂ© enfermĂ©s, donc tenus par le collier, au minimum.
- Aucun rapport ne mentionne une analyse des excréments canins relevés sur place.
Pourtant il aurait été relativement facile de déterminer le jour du drame avec une telle analyse (vers, parasites, mouches, etc)
- Les empreintes relevées dans les 2 voitures des Ruerettes ne sont pas interprétables.
Quelqu’un les aurait-elle effacĂ©es?
- François a Ă©tĂ© condamnĂ© pour l’assassinat de sa soeur.
Or, le corps n’a toujours pas Ă©tĂ© retrouvĂ©, il n’y a aucune trace de violence sur Marie-JosĂ© Ă la villa des Ruerettes
- Hormis sur les verres de la cuisine et un sac, il n’y a aucune trace d’ADN de Marie-JosĂ© Ă la villa des Ruerettes.
Etonnant losqu’on sait qu’elle y habitait.
- La police n’a jamais enquĂȘtĂ© sur la piste des “toxico”, ex-patients du Dr Marie-JosĂ© LĂ©geret.
POURQUOI:
- La police ne s’est pas intĂ©ressĂ©e de plus prĂšs au taxi que Marie-JosĂ© a appelĂ© dans le courant de novembre 2005 alors qu’elle avait 2 voitures.
Pour qui était ce taxi?
- Les enquĂȘteurs ne se sont pas intĂ©ressĂ©s Ă l’entreprise qui est venue faire des travaux dans la villa Ă fin novembre 2005
- Selon la police, François aurait pris des cheveux de Marie-José pour les mettre dans la main de sa maman.
Comment se fait-il que des cheveux soient pris dans le bracelet de la montre de Ruth et qu’il y en avait partout autour du corps. Il n’y avait pas d’ADN sur la brosse Ă cheveux. OĂ» se trouve la photo de la brosse Ă cheveux?
- Marie-JosĂ© a dit Ă François qu’elles ne seraient pas lĂ pour les fĂȘtes. Elle a, en outre, dissuadĂ© le petit-fils de Ruth, son neveu, Ă venir trouver sa grand-mĂšre. Elle ne voulait pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©e.
Qui attendait-elle?
- La piste mystique italienne n’a pas fait l’objet d’une trĂšs grande enquĂȘte. Mgr Milingo n’a pas Ă©tĂ© interrogĂ©, ni l’Ă©vĂšque qui a dit que Marie-JosĂ© Ă©tait hautement possĂ©dĂ©e.
La police a prĂ©sentĂ© une photo vieille de 20 ans et elle s’attendait Ă ce que quelqu’un reconnaisse Marie-JosĂ©! Arnaud BĂ©dat a prĂ©sentĂ© une photo actuelle et des gens l’ont reconnue...
- L’UBS a dĂ©noncĂ© des crĂ©dits hypothĂ©caires alors que les immeubles tournent bien, les charges et les intĂ©rĂȘts sont payĂ©s, les hypothĂšques ne dĂ©passent pas le 50 % de la valeur des biens, et, de surcroĂźt, le taux d’intĂ©rĂȘt est bien plus Ă©levĂ© que ce qui est offert maintenant.
Etrange, M. J. B. a Ă©tĂ© assignĂ© Ă comparaĂźtre par le procureur en 2008. Cela nous laisse penser qu’on veut s’approprier les biens de François LĂ©geret, mais qui?
- Les enquĂȘteurs ont affirmĂ© qu’il n’y avait rien dans le coffre-fort qui est retrouvĂ© vide, hormis quelques Travellers-check.
Qui peut dire ce qu’il y avait dans le coffre, Ă part Ruth et Marie-JosĂ©? En tout cas pas la femme de mĂ©nage.
Les revenus de François ont Ă©tĂ© sĂ©questrĂ©s, alors que sa maman lui assurait un salaire de Fr 6’000.- mensuel. Les enquĂȘteurs n’ont pas Ă©tudiĂ© la situation financiĂšre de Marie-JosĂ© car ils auraient vu qu’elle vivait sur le compte de sa maman. Pas plus que celle de François, car ils auraient dĂ» remarquer qu’il possĂ©dait suffisamment de biens pour ne pas avoir besoin de Fr 46’000.-, somme relative aux intĂ©rĂȘts hypothĂ©caires. Pour palier au manque de liquiditĂ©, il pouvait vendre sa collection de piĂšces de monnaie, sa pelleteuse, ses tableaux ou tout simplement augmenter les hypothĂšques de ses maisons de Rue.
Les enquĂȘteurs n’ont pas voulu ou ne se sont pas posĂ©s la question pourquoi Ruth LĂ©geret avait dĂ©shĂ©ritĂ© *Simon et confirmĂ© son dĂ©sir par deux fois. En revanche, elle n’a pas dĂ©shĂ©ritĂ© François alors que la cour a fait Ă©tat des soi-disants conflits entre François et sa maman. En novembre 2005, l’hoirie, Ruth - Marie-JosĂ© et François, ont signĂ© des accords bancaires.
Quelles raisons, François aurait-il eues d’Ă©liminer sa maman et sa soeur, alors qu’il Ă©tait dĂ©jĂ propriĂ©taire de la moitiĂ© des biens de l’hoirie. Ceci d’autant plus que sa soeur disparue, toute dĂ©cision concernant l’hoirie devait en ĂȘtre rĂ©fĂ©rĂ©e Ă un curateur d’absence. Cela n’a aucun sens.
*Simon = nom d’emprunt
Pourquoi
ne pas admettre que nous nous trouvons en face de la plus grande erreur judiciaire commise dans notre pays et ne pas croire en l’innocence de Francois LĂ©geret
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