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L’association FL, les membres du groupe pour la libertĂ© de François LĂ©geret ainsi que François LĂ©geret continuent Ă poser des questions telles que dans un des articles du Journal « Vigousse » ! Tous ces « pourquoi » qui se trouvent au coin de toutes les lĂšvres et qui restent sans rĂ©ponse Ă ce jour!
Suite aux reportages, aux articles de presse, aux divers procÚs, aux lettres ouvertes de François, nous avons fait une syntaxe de ces éléments.
Nous rappelons que nous ne formulons aucune accusation, nous aimerions comprendre pour quelles raisons les enquĂȘteurs, le procureur et le juge d’instruction se sont fixĂ©s sur FL dĂšs le premier jour au lieu d’Ă©tudier toutes les pistes possibles dans cette affaire?
Nous constatons, en lisant la derniĂšre lettre ouverte de FL, que tous les indices Ă charge qui ont forgĂ© l’intime conviction du procureur, des juges et des jurĂ©s tombent les uns aprĂšs les autres, ce qui devrait forcĂ©ment amener la cour de cassation Ă libĂ©rer François LĂ©geret.
POURQUOI:
- L’Ă©mission zone d’ombre n’a pas passĂ© avant le jugement de 2008.
Pas si tardif que ça le tĂ©moignage de la boulangĂšre... Juste pas entendu ce qu’il fallait et quand il le fallait!
- En 2008, la cour de cassation, prĂ©sidĂ©e par M. J.-F Meylan, a dĂ©libĂ©rĂ© Ă huit clos, alors que la procĂ©dure prĂ©voit l’obligation de faire ces dĂ©libĂ©rations en public.
- Deux présidents de la cour criminelle vaudoise ont déterminé deux emplacements différents pour les ciseaux, alors que les rapports de police, eux, en mentionnent au moins 6!!
Quels sont les critĂšres de sĂ©lection? Les magistrats n’ont pas remarquĂ© cette contradiction plus tĂŽt alors que ces ciseaux sont devenus un indice puissant de culpabilitĂ© en plus du fait que le prĂ©sident, lui, a trouvĂ© un emplacement qui n’existait pas dans les rapports de police! Les ciseaux ne figurent pas sur le dessin des relevĂ©s de la scĂšne du crime fait par les enquĂȘteurs!
- La cour n’accorde aucun crĂ©dit Ă François lorsque il dit s’ĂȘtre perdu dans Attalens alors qu’il se rendait chez ses amis pour y passer NoĂ«l.
Cela va mĂȘme plus loin puisque cet Ă©lĂ©ment a Ă©tĂ© retenu comme un indice puissant de mensonge. Ce fait est d’autant plus Ă©trange, puisque *Simon, malgrĂ© ses diffĂ©rentes versions, dont son alibi du 24 dĂ©cembre 2005 qui s’est rĂ©vĂ©lĂ© mensonger, a retenu le soutien de la magistrature! Pour quelles raisons les enquĂȘteurs ont-ils trouvĂ© la version de François douteuse et n’ont pas mĂȘme vĂ©rifiĂ© la version contradictoire de *Simon?
- Les enquĂȘteurs ont Ă©tĂ© choquĂ©s d’avoir trouvĂ© une lettre que François aurait Ă©crite pour rĂ©gler les donations hors succession de sa maman, alors que dans le cadre de son testament ces donations Ă©taient dĂ©jĂ prĂ©vues. Cette lettre a Ă©tĂ© retenue comme Ă©lĂ©ment Ă charge. En revanche, les enquĂȘteurs n’ont pas Ă©tĂ© choquĂ©s de la demande de mise sous tutelle que Simon a faite Ă l’encontre de sa maman, tout comme le fait qu’il ait dĂ©posĂ© une plainte pĂ©nale contre sa propre mĂšre pour dĂ©tournement de fonds!
LĂ encore l’association FL ne comprend pas pourquoi, dans le cadre de l’enquĂȘte, le juge d’instruction a estimĂ© que ce ne pouvait ĂȘtre que François le coupable! Pourquoi un tel acharnement de la part des enquĂȘteurs Ă vouloir trouver absolument un Ă©lĂ©ment Ă charge?
- Tous les témoignages à décharge ont été systématiquement éliminés.
- Les enquĂȘteurs ont maintenu que François Ă©tait en mauvais terme avec sa mĂšre alors que l’avocate de Ruth affirme le contraire.
*Simon est en guerre ouverte avec sa mĂšre et l’hoirie Charles LĂ©geret depuis de nombreuses annĂ©es. Cet Ă©lĂ©ment aurait dĂ» alerter la police d’une situation familiale quelque peu conflictuelle, mais elle a prĂ©fĂ©rĂ© l’ignorer.
- François a organisĂ© et pris en charge seul l’organisation et les frais des pompes funĂšbres pour sa maman.
Et *Simon dit tant aimer sa mĂšre! A ce jour, alors que la volontĂ© de Ruth a toujours Ă©tĂ© d’ĂȘtre avec son mari dans la concession familiale, cela n’a toujours pas Ă©tĂ© fait. François vit trĂšs mal ce drame intĂ©rieur depuis 4,5 ans. Il vient enfin de savoir oĂč se trouve les cendres de sa maman. A cause du sĂ©questre de ses revenus, il n’a plus pu subvenir Ă l’entretien de la tombe de ses parents, on ne lui a mĂȘme pas laissĂ© les moyens de s’occuper de ses dĂ©funts parents!. POURQUOI:
- *Simon, averti par son cousin, qui Ă©tait sur le lieu du drame le 4 janvier 2006, ne s’est pas dĂ©placĂ© tout de suite pour venir voir sa maman.
- Les enquĂȘteurs ont maintenu un document, qui s’est avĂ©rĂ© ĂȘtre un faux, rĂ©digĂ© par Marie-JosĂ© avec une signature contrefaite de Ruth, qui voulait faire croire que Ruth enlevait tous les pouvoirs bancaires Ă François, aux seules fins de le tromper dans les interrogatoires.
- L’agenda et les clĂ©s de Marina ont disparus.
- Il n’y a pas eu de la part des enquĂȘteurs, une analyse approfondie des traces de sang, sachant qu’on peut dĂ©terminer la taille de l’agresseur et l’origine de l’agression au regard des impacts de sang laissĂ©s sur le mur
L’autopsie et cette analyse auraient pu mettre en Ă©vidence le nombre d’agresseur, donc l’opportunitĂ© que ces crimes aient Ă©tĂ© commis par un seul agresseur...
- Vouloir Ă tous prix nettoyer de suite la villa des Ruerettes juste avant le 4 octobre alors que cela fait 4,5 ans qu’elle est ainsi.
- Le Dr R. Fanac, psychologue, a Ă©tĂ© accrĂ©ditĂ© par la cour pour son expertise sur FL, mandatĂ©e par *Simon, alors que M. Fanac n’a jamais vu, ni entendu François.
- FL n’a pas Ă©tĂ© jugĂ© dans un autre canton.
Sachant que *Simon est réguliÚrement mandaté par la justice pour des expertises immobiliÚres, le risque de collusion est bel et bien existant!
- Les enquĂȘteurs ne se sont pas inquiĂ©tĂ©s en entendant certains tĂ©moins parler de *Simon.
Et pourtant, ses paroles Ă©taient suffisamment graves, dites Ă l’encontre de sa sĆur et de sa maman, pour attirer leur attention!
- Les enquĂȘteurs ont interrogĂ© certains tĂ©moins que 6 mois plus tard, allant mĂȘme jusqu’Ă 9 mois pour vĂ©rifier l’alibi de *Simon, selon les dires de la presse.
- Le juge d’instruction a toujours trouvĂ© un Ă©lĂ©ment empĂȘchant la libertĂ© provisoire de FL, le prĂ©venu n’a pas accĂšs de suite Ă son dossier, le juge d’instruction n’a pas l’obligation de retranscrire toutes ses questions!
- Est-ce possible d’avoir autant de confusion dans des rapports de police, qui sont pourtant des enquĂȘteurs professionnels et compĂ©tents de l’identitĂ© judiciaire vaudoise.
Lors de la reconstitution les enquĂȘteurs ne portent pas de gants Voir: le problĂšme des lunettes, de la couleur de la chemise, des ciseaux, des photos de la scĂšne du crime (mentionnĂ© dans la derniĂšre lettre ouverte de FL).
Suite...
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